voie du guerrier

Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Nous Sommes des Percepteurs

Ici, Castaneda présente la première prémisse de la voie du guerrier telle qu’enseignée par don Juan Matus : « Nous Sommes des Percepteurs ». Il explique que, bien que cela semble évident, c’est une déclaration profonde pour les sorciers, soulignant que l’orientation fondamentale de l’humanité est la perception. Selon don Juan, les humains interprètent un afflux minimal d’énergie à travers un système appelé la « forme humaine », créant ainsi un monde qui est principalement une interprétation plutôt qu’une perception directe. La prémisse est donc un appel des sorciers à revenir à l’état originel de perception directe de l’humanité.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Nous Sommes Ce Qu’est Notre Commencement

Castaneda présente la deuxième prémisse de la voie du guerrier : « Nous Sommes Ce Qu’est Notre Commencement ». Il relaie l’enseignement difficile de don Juan Matus selon lequel la constitution énergétique d’une personne est profondément façonnée par les conditions de sa conception. Don Juan utilisait le terme « baise ennuyée » (B.E.) pour ceux qui ont été conçus sans une véritable excitation parentale, et qui sont par conséquent énergétiquement faibles et nécessiteux. Le conseil pratique de don Juan pour une B.E. était de devenir un « avare d’énergie » par l’abstinence de comportements épuisants. Le but ultime, expliqua-t-il, est de se recréer en « ayant l’intention de l’inconcevable », en utilisant toute étincelle émotionnelle ou sensorielle disponible comme carburant pour cette transformation.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Lecteurs de l’Infini

Dans cette note de l’auteur, Castaneda réaffirme le but du journal : diffuser les idées du monde cognitif de don Juan Matus. Il raconte ses premières tentatives infructueuses de publier l’œuvre, qui fut rejetée pour ne pas correspondre aux formats conventionnels. Il annonce ensuite un changement significatif : le nom du journal passe de « La Voie du Guerrier » à « LECTEURS DE L’INFINI ». Ce nouveau titre est inspiré par le concept de don Juan de la « lecture de l’infini », un état de perception atteint grâce au « silence intérieur » où un voyant peut lire l’infini qui se révèle à l’horizon. Le journal est présenté comme une invitation pour tous à relever ce défi.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – La Perception Doit Être Intentionnée dans son Intégralité

Castaneda présente la troisième prémisse de la voie du guerrier : « La Perception Doit Être Intentionnée dans son Intégralité ». Il relaie que don Juan Matus enseignait que toute perception est intrinsèquement neutre et doit être acceptée sans jugement. Don Juan distinguait ses enseignements comme des entrées d’un « livre de navigation » détaillant les perceptions directes des sorciers. La clé de cette prémisse est de réinterpréter l’énergie sans le mental, un acte qui requiert l’être tout entier. Cette interprétation complète est réalisée par l’union du corps physique et du « corps d’énergie ». Par conséquent, avoir l’intention de la perception dans son intégralité signifie réinterpréter l’énergie avec ces deux parties essentielles de soi pleinement engagées.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – La Force qui nous Maintient Unis en tant que Champs d’Énergie

Dans cette entrée, Castaneda explore un concept des anciens sorciers : une force vibratoire et « agglutinante » qui maintient les humains unis en tant qu’unité de champs d’énergie. Don Juan enseignait que la pratique des passes magiques est la clé pour prendre conscience de cette force. Castaneda raconte que si les anciens sorciers apprirent à utiliser cette force pour dissoudre leur masse physique, ils devinrent obsédés par son contrôle après avoir découvert qu’ils ne pouvaient pas agir dans cet état. Il explique que les pratiquants modernes, en revanche, cherchent seulement à prendre conscience de cette force pour la connaissance et le bien-être qu’elle procure. Selon don Juan, son seul usage permis est pour un sorcier de l’employer pour brûler de l’intérieur au moment de la mort.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Le Corps d’Énergie

Dans cette section, Castaneda introduit la quatrième unité de la voie du guerrier : le Corps d’Énergie. Il relaie la description de don Juan Matus de celui-ci comme une configuration d’énergie en miroir de notre corps physique, également appelée le « double » ou « corps de rêve ». Don Juan enseignait que le seul vrai dualisme se situe entre le corps physique et le corps d’énergie, qui forment naturellement une seule unité mais sont séparés dès la naissance. Castaneda explique que la discipline d’un sorcier vise à rapprocher le corps d’énergie, ce qui permet de le forger en un « double » solide. Le point d’assemblage sert de lien entre les deux corps, et don Juan croyait que la mort survient lorsque cette connexion est finalement rompue.

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