peur

Êtres inorganiques – Le Feu du dedans

Suite à une expérience effrayante dans l’inconnu, don Juan explique que Castaneda manque de l’énergie libre nécessaire pour la comprendre pleinement, soulignant la nécessité pour les guerriers de se débarrasser des habitudes inutiles. Il aborde ensuite la connaissance secrète des anciens voyants toltèques, en particulier leur découverte de formes de vie non organiques, ou « alliés », et leurs méthodes d’interaction, souvent impliquant l’eau et des surfaces réfléchissantes. À travers une démonstration saisissante avec un miroir dans un ruisseau, Castaneda fait une rencontre terrifiante avec l’une de ces entités, réalisant son immense pouvoir et la profonde mélancolie qui découle d’un aperçu de l’éternité.

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Les quatre ennemis naturels sur la voie de la connaissance

Dans cet extrait des conversations de Carlos Castaneda avec son maître don Juan, ce dernier commence à révéler les profondes exigences du chemin pour devenir un « homme de connaissance ». Don Juan explique que cette quête n’est pas pour tout le monde et qu’elle implique une confrontation inévitable avec quatre « ennemis naturels », des obstacles redoutables qui peuvent mettre fin à l’apprentissage de celui qui cherche à maîtriser les secrets du pouvoir et de la connaissance.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Questions sur la Voie du Guerrier: quand est-ce que je te verrai ? Est-ce que tu me fais quelque chose ?

Dans cette section, Castaneda aborde deux questions courantes. La première concerne le moment où un pratiquant parviendra à « voir », la perception directe de l’énergie. Il explique que si les pratiques sont importantes, l’élément crucial est d’avoir l’« intention » du résultat – l’état que les sorciers appellent « arrêter le monde », qui est atteint en anéantissant l’importance de soi. La deuxième question concerne la peur des sensations physiques étranges pendant la Tensegrité. Castaneda raconte comment don Juan Matus expliquait ces sentiments non pas comme une manipulation externe, mais comme des réponses physiologiques naturelles ou le produit de sa propre mentalité de victime. Le conseil de don Juan était de contrer la peur en étant « impeccable ».

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Briser les Routines de la Vie

Carlos observe des rongeurs et apprend à fabriquer des pièges, mais Don Juan le surprend en agissant comme une sirène d’usine pour marquer les « routines » de la journée. Don Juan explique qu’un vrai chasseur n’a pas de routines, ce qui est son « suprême avantage », contrairement aux animaux qui sont prévisibles. Il insiste sur le fait que Carlos, comme une proie, est lui-même facile à prévoir en raison de ses propres routines. Pour changer, il doit les « briser ». Don Juan raconte ensuite sa propre rencontre avec un « cerf magique » qui lui a parlé, un être sans routine qui a transcendé la peur. Carlos, incrédule face à cette histoire, est forcé de considérer la possibilité de mondes au-delà de sa compréhension rationnelle.

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