voir l’énergie

Le Voyage Définitif – La Vue Claire

Dans ce dernier chapitre du livre, Castaneda se trouve dans une impasse, incapable de gérer le monde des gens ordinaires après avoir été influencé par don Juan. Sa nouvelle perception le pousse à juger tout le monde selon les normes d’impeccabilité de don Juan, ce qui entraîne une crise dans sa vie académique et personnelle. Il raconte ses expériences avec un patron gentil mais passif, Ernest Lipton, dont l’impuissance lui rappelle son propre père. Don Juan lui conseille que le problème n’est pas les autres mais sa propre « auto-réflexion ». Le point culminant se produit un jour sur le campus de l’UCLA où Castaneda est submergé par une étrange sensation, perd sa vue normale et, pour la première fois, « voit » consciemment l’énergie directement — percevant les gens comme des sphères lumineuses et poilues. Il a la révélation choquante qu’il a toujours perçu l’énergie de cette manière sans en être conscient. L’expérience se termine par son réveil inexpliqué dans son appartement à des kilomètres de là. Don Juan confirme qu’il a « arrêté le monde », voyagé depuis le silence intérieur et fait l’expérience de la « vue claire » ou de la « perte de la forme humaine », le laissant avec la question exaspérante de savoir ce qui l’avait empêché d’accéder à cette perception toute sa vie.

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La Troisième Porte du Rêve – L’Art de Rêver

Carlos Castaneda entre dans la troisième porte du rêve, où le but est de fusionner sa réalité onirique avec la réalité quotidienne en consolidant son corps énergétique. Il lutte contre la compulsion à être absorbé par des détails insignifiants dans ses rêves, un défi que don Juan attribue à l’inexpérience du corps énergétique. Don Juan souligne le rôle du point d’assemblage dans ce processus et révèle que le corps physique de Castaneda a été enlevé par des êtres inorganiques, pour être secouru par don Juan et ses compagnons, dont Carol Tiggs, qui ont collectivement déplacé leurs points d’assemblage. Castaneda apprend que sa difficulté à se mouvoir dans les rêves est due à sa tentative de « marcher » son corps énergétique, alors qu’il devrait glisser ou s’envoler. Don Juan fixe ensuite la tâche suivante : pratiquer la vision de l’énergie dans ses rêves, la véritable mesure pour déterminer s’il se trouve dans un monde réel ou une simple projection fantôme.

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La Nouvelle Zone d’Exploration – L’Art de Rêver

Dans ce chapitre, Carlos Castaneda progresse dans la « nouvelle zone d’exploration » du rêve, se concentrant sur la vision de l’énergie en exprimant son intention. Il raconte ses premières difficultés avec cette pratique, les objets de ses rêves disparaissant ou changeant. Don Juan explique que ses rêves précédents n’étaient que des « projections fantômes » et que la véritable vision se produit lorsque le corps énergétique perçoit des éléments générateurs d’énergie dans un monde réel. Castaneda décrit un rêve vif où il a vu des objets luire et a rencontré une énergie agressive et haineuse. Don Juan révèle qu’il s’agissait d’un véritable voyage vers une autre couche de l’univers, où une entité l’a attaqué en raison de sa « disponibilité ». Don Juan révèle ensuite la vérité profonde et dérangeante selon laquelle l’énergie que les sorciers utilisent pour déplacer leurs points d’assemblage provient du royaume des êtres inorganiques, un héritage des anciens sorciers. Malgré le danger, Castaneda est exhorté à poursuivre ses pratiques, à maintenir l’impeccabilité et à viser la liberté en « traquant » subtilement les êtres inorganiques et en prenant leur énergie sans succomber à leur influence.

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Traquer les Traqueurs – L’Art de Rêver

Carlos Castaneda relate ses difficultés avec l’effondrement de la frontière de la seconde attention, menant à la fatigue et au besoin de l’aide de don Juan. Don Juan propose de « traquer les traqueurs » comme dernière tâche de la troisième porte du rêve, ce qui implique de puiser délibérément de l’énergie du royaume des êtres inorganiques pour réaliser une prouesse de sorcellerie : un voyage utilisant la conscience comme élément énergétique. Carol Tiggs rejoint Castaneda pour cette dangereuse entreprise. Leur tentative aboutit à une abduction inattendue et terrifiante de leurs corps physiques dans un monde inconnu par les êtres inorganiques, un piège déjà tendu aux anciens sorciers. Don Juan explique que leur énergie combinée, bien que substantielle, n’était pas le facteur principal de leur voyage ; la manipulation des êtres inorganiques l’était. Il les avertit que leur situation unique en fait des cibles et leur conseille de s’éviter pour prévenir de futures abductions. Les pratiques de rêve de Castaneda sont ensuite recentrées sur la vision de l’énergie dans divers états.

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La Femme dans l’Église – L’Art de Rêver

Après avoir été laissé par don Juan, Carlos Castaneda s’agenouille dans l’église à côté du Défiant de la mort, un ancien sorcier qui apparaît sous les traits d’une femme. D’abord terrifié, il est hypnotisé par sa voix et sa présence. Il lui offre son énergie librement mais refuse ses « dons de pouvoir » obligatoires. La femme le tire alors dans la seconde attention, révélant l’église et la ville telles qu’elles existaient à une autre époque, un produit de sa propre intention. Elle explique l’art des sorciers de créer des royaumes véritables dans le rêve par la visualisation et la technique des « positions jumelles ». Castaneda explore ce monde onirique tangible avec elle, apprenant que seule elle génère de l’énergie en son sein. L’expérience culmine dans une prise de conscience terrifiante que leur réalité actuelle pourrait aussi être un rêve partagé, le faisant perdre conscience dans une descente tourbillonnante dans les ténèbres.

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La Connaissance Silencieuse – Le Silence Intérieur

Ce chapitre aborde le « silence intérieur », le cinquième et culminant sujet de la pratique des sorciers, défini par don Juan comme un état de perception libre de pensées et du dialogue interne. Cet état est la matrice d’un saut évolutif appelé « connaissance silencieuse », une forme de savoir instantanée et non cérébrale. Castaneda rapporte que don Juan enseignait que le silence intérieur s’atteint par une discipline persistante, en se forçant à être silencieux pendant des périodes cumulatives jusqu’à ce qu’un seuil personnel soit atteint et que le silence se manifeste spontanément. Il décrit sa propre expérience bouleversante d’avoir atteint ce seuil, ce qui l’a amené à « arrêter le monde » et, pour la première fois, à devenir *conscient* de voir l’énergie directement — une capacité que, selon don Juan, il avait toujours possédée mais dont il n’avait pas eu conscience délibérément.

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