pouvoir personnel

Le Don de l’Aigle – L’Autre Soi – Voir Ensemble

Dans ce chapitre, Castaneda traverse une crise physique et mentale, que la Gorda identifie comme la « perte de sa forme humaine ». La tension culmine lorsque Pablito s’enfuit, forçant Castaneda à affirmer son autorité de Nagual en confrontant physiquement les autres apprentis ; durant cette confrontation, il a une révélation et les *voit* comme des êtres lumineux pour la première fois. Plus tard, lors d’un voyage à Oaxaca avec la Gorda, le souvenir de don Juan et un lien émotionnel profond entre eux catalysent une vision partagée et soutenue des gens en tant qu’« œufs lumineux ». Ils réalisent qu’ils ont atteint le « voir ensemble », une étape importante, et la Gorda insiste pour qu’ils gardent le silence sur l’expérience afin de préserver le pouvoir qu’ils ont acquis, faisant allusion à un passé commun que Castaneda ne peut pas encore se remémorer.

Le Don de l’Aigle – L’Autre Soi – Voir Ensemble Read More »

Le Don de l’Aigle – La Perte de la Forme Humaine

Dans ce chapitre, Castaneda subit une épreuve physique éprouvante que la Gorda et lui identifient comme la « perte de la forme humaine » finale, ce qui entraîne un profond état de détachement de guerrier qui efface ses ressentiments passés. Ce nouvel état d’être agit comme un catalyseur, débloquant un souvenir essentiel et complètement oublié de la « femme Nagual » — une contrepartie sereine et puissante de don Juan qui était, en fait, la partenaire de Castaneda. La révélation choquante qu’ils aient pu oublier une personne aussi essentielle les plonge tous les deux dans un cycle de deuil partagé, de rage et de peur alors qu’ils commencent à saisir l’étendue véritable et terrifiante des manipulations de don Juan sur leurs souvenirs et leurs êtres mêmes.

Le Don de l’Aigle – La Perte de la Forme Humaine Read More »

Le Voyage Définitif – Commencer le Voyage Définitif : Le Saut dans l’Abîme

Dans ce chapitre culminant, don Juan annonce que son temps sur Terre est terminé et qu’il part pour son « voyage définitif ». Sur une mesa isolée, il dit à Castaneda que sa dernière tâche en tant qu’apprenti est de sauter dans un abîme, un acte qui le plongera dans l’infini. Avant le saut, cependant, Castaneda doit dire au revoir à tous ceux envers qui il est endetté. Il raconte trois relations formatrices de son enfance : avec M. Acosta, un chasseur qui lui a enseigné la solitude ; avec Sho Velez, un jeune ami dont le courage lui a appris qu’il faut avoir quelque chose pour quoi mourir ; et avec sa grand-mère et son fils adoptif Antoine, dont le départ dramatique lui a enseigné la finalité du temps. Après avoir crié ses remerciements à ces « fantômes », don Juan donne ses derniers conseils, exhortant Castaneda à être impeccable et à oublier le soi. Ensuite, don Juan et son groupe de quinze sorciers se transforment en êtres lumineux et montent dans le ciel. Sachant que son temps est également écoulé, Castaneda court à toute vitesse et saute dans l’abîme.

Le Voyage Définitif – Commencer le Voyage Définitif : Le Saut dans l’Abîme Read More »

Une Bataille de Pouvoir

Carlos accompagne Don Juan vers un nouveau « lieu de pouvoir » dans les montagnes pour y chasser le pouvoir. Don Juan explique que le pouvoir est une sensation personnelle, inexplicable, que l’on peut emmagasiner. Il donne à Carlos de la « nourriture-pouvoir » (viande de cerf) pour l’aider dans cette quête. Carlos apprend à « sentir » le vent et à anticiper ses changements, ce qui est une forme de chasse au pouvoir. Ils se préparent à camper dans une caverne en altitude. Don Juan pousse Carlos à rester impassible face aux phénomènes étranges qui se produisent à la tombée de la nuit, notamment un banc de brouillard qui prend des formes inhabituelles et semble être un « pont » de pouvoir. Carlos expérimente une vision intense de ce pont, mais Don Juan l’interrompt pour le protéger, expliquant qu’il ne possède pas encore assez de pouvoir pour affronter de telles manifestations seul. Il souligne que ces expériences sont le début d’une « bataille de pouvoir » et que la capacité à « stopper-le-monde » est essentielle pour y faire face.

Une Bataille de Pouvoir Read More »

La Dernière Résistance du Guerrier

Carlos accompagne Don Juan vers un ancien lieu de pouvoir dans les montagnes, où des guerriers se « terrent » pour des révélations. Don Juan y construit une cage pour « enterrer » Carlos, expliquant que c’est pour emmagasiner du pouvoir et des révélations, et qu’un guerrier, guidé par une intention inflexible, est à l’abri des dangers. Carlos est envahi par la tristesse et le remords de sa vie passée, mais Don Juan insiste sur la « perfection de l’esprit du guerrier » qui exige de ne pas s’apitoyer sur soi-même. Le chapitre aborde ensuite les progrès de Carlos dans le « rêve » et les techniques pour contrôler ses visions, notamment en regardant ses mains et en « voyageant » vers des lieux connus. Don Juan révèle que le sommet de cette colline sera le lieu de la « dernière danse » de Carlos, un rituel où le guerrier, confronté à sa mort, récapitule sa vie et exprime son pouvoir.

La Dernière Résistance du Guerrier Read More »

La Marche de Pouvoir

Carlos débute un voyage avec Don Juan pour « chasser le pouvoir » dans les montagnes, apprenant que cette quête ne peut être planifiée et qu’elle dépend de la « sensation » personnelle. Don Juan partage l’idée que le pouvoir est « personnel » et peut être emmagasiné, citant l’exemple de son propre benefactor. Carlos expérimente la « nourriture-pouvoir » et apprend à sentir le vent pour se protéger. Don Juan révèle que le corps de Carlos « a besoin » d’apprendre et de vivre des expériences intenses pour accumuler du pouvoir, notamment la « marche de pouvoir » dans l’obscurité. Il insiste sur la confiance en son « pouvoir personnel » et l’abandon, car « la nuit est pouvoir ». Carlos est confronté à des « entités de la nuit », des êtres réels et dangereux pour ceux qui manquent de pouvoir. Don Juan le laisse affronter seul ces entités pour qu’il s’éprouve, avant de lui annoncer qu’il a trouvé un « adversaire valable » : un humain. Le chapitre se termine par l’introduction du concept de « ne-pas-faire », une technique pour accumuler du pouvoir en agissant à l’encontre de ses habitudes sensorielles et mentales, symbolisée par l’observation des ombres des feuilles plutôt que des feuilles elles-mêmes.

La Marche de Pouvoir Read More »

Translate »