point d’assemblage

Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Qu’est-ce que la Tensegrité ?

Castaneda explique les origines de la Tensegrité comme une version modernisée des « passes magiques » de la lignée de don Juan Matus. Il relate les enseignements de don Juan sur ces anciens sorciers qui pouvaient percevoir l’énergie directement (le « voir »), ce qui a révélé le « point d’assemblage » humain où la perception est assemblée. En étudiant le mouvement de ce point, ils ont développé l’« art de rêver » et les passes magiques. Castaneda note qu’après avoir appris ces passes en secret, lui et ses condisciples ont décidé de les rendre publiques sous le nom de Tensegrité, un nom signifiant la tension et l’intégrité qui sont les forces motrices des mouvements.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Le Corps d’Énergie

Dans cette section, Castaneda introduit la quatrième unité de la voie du guerrier : le Corps d’Énergie. Il relaie la description de don Juan Matus de celui-ci comme une configuration d’énergie en miroir de notre corps physique, également appelée le « double » ou « corps de rêve ». Don Juan enseignait que le seul vrai dualisme se situe entre le corps physique et le corps d’énergie, qui forment naturellement une seule unité mais sont séparés dès la naissance. Castaneda explique que la discipline d’un sorcier vise à rapprocher le corps d’énergie, ce qui permet de le forger en un « double » solide. Le point d’assemblage sert de lien entre les deux corps, et don Juan croyait que la mort survient lorsque cette connexion est finalement rompue.

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La Connaissance Silencieuse – La Série de Westwood

Ce chapitre final est consacré à « La Série de Westwood », un ensemble spécifique de passes magiques qui, selon don Juan, fonctionne comme la « force agglutinante » qui lie les quatre autres domaines d’intérêt des sorciers (le centre des décisions, la récapitulation, le rêver et le silence intérieur) en une unité fonctionnelle. Castaneda explique que la série est divisée en quatre sections, chacune correspondant à l’un de ces domaines. Le reste du chapitre sert de manuel pratique, fournissant des descriptions détaillées de chaque passe magique au sein des quatre sections. Les instructions couvrent les mouvements physiques, les schémas de respiration et le but énergétique spécifique de chaque passe, comme l’activation du centre de décision, le forgeage du corps énergétique ou la préparation au silence intérieur.

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La Connaissance Silencieuse – La Récapitulation

Dans ce chapitre, Castaneda détaille le troisième pilier de la pratique des sorciers : la « Récapitulation ». Il la décrit comme une procédure pour revivre toutes les expériences de sa vie, avec deux objectifs principaux. Le premier est un objectif cosmologique : satisfaire une force universelle appelée « l’Aigle », qui cherche les expériences de vie d’un être, et non sa force vitale. En offrant un compte rendu détaillé de leur vie, les sorciers peuvent conserver leur force vitale au moment de la mort et s’embarquer dans un voyage de perception en tant qu’êtres inorganiques. Le second objectif est pragmatique : acquérir une « fluidité perceptuelle ». Le fait de revivre des souvenirs force le « point d’assemblage » à se déplacer vers les positions qu’il occupait dans le passé, et ce mouvement répété confère au pratiquant la flexibilité nécessaire pour affronter l’inconnu. Castaneda décrit également la méthode pratique enseignée par don Juan : faire une liste de toutes les personnes connues et utiliser la respiration comme un véhicule pour inspirer l’énergie récupérée et expirer les sentiments indésirables associés à chaque souvenir.

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La Connaissance Silencieuse – Le Rêver

Dans ce chapitre, Castaneda explore « l’art de rêver » (`le rêver`), qu’il définit comme la technique des sorciers pour briser les paramètres de la perception normale et voyager dans l’inconnu. Don Juan explique que le « rêver » d’un sorcier (*ensoñar*) est fondamentalement différent des rêves ordinaires (*soñar*) et repose sur le déplacement délibéré du « point d’assemblage » de sa position habituelle. Cette pratique trouve son origine dans l’observation par les sorciers du mouvement naturel du point d’assemblage pendant le sommeil. La clé de cet art est le développement de « l’attention de rêver », une discipline qui permet au pratiquant de maintenir sa concentration sur les éléments de ses rêves et ainsi d’entrer dans d’autres mondes réels, générateurs d’énergie. Le « rêver » est complété par « l’art de traquer », qui est la capacité de maintenir le point d’assemblage fixé dans une nouvelle position, permettant ainsi l’exploration complète de ces autres royaumes.

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Les Sorciers de L’Antiquité – Une Introduction

Dans ce chapitre, Castaneda relate les enseignements de don Juan sur les sorciers de l’antiquité, qui, bien que brillants, étaient obsédés par le concret et le pouvoir, contrairement aux sorciers modernes qui recherchent l’abstrait : la liberté. Don Juan explique que la plus grande réussite des anciens fut d’apprendre à percevoir directement l’énergie, une capacité appelée le *voir*. Cela nécessite de se défaire du « moule social » de la perception, qui impose que le monde n’est fait que d’objets. Il décrit l’univers comme étant composé de filaments d’énergie incandescents et conscients, et les êtres humains comme des œufs ou des sphères lumineuses d’énergie. Selon les anciens sorciers, la clé de la perception est un point de brillance sur notre corps énergétique appelé le point d’assemblage, qui assemble un certain nombre de filaments énergétiques pour créer notre réalité perçue. Déplacer ce point permet de percevoir d’autres mondes. Un « glissement » du point résulte en la perception d’autres mondes au sein du domaine humain, tandis qu’un « mouvement » hors du corps lumineux conduit à la perception de mondes inconcevables et non humains. Il conclut en expliquant que les anciens sorciers, en découvrant que le point d’assemblage se déplace facilement pendant le sommeil, ont développé l’art de rêver pour contrôler ce déplacement à volonté.

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La Fixation du Point d’Assemblage

Dans ce chapitre, don Juan aborde la manipulation du point d’assemblage, ce qui l’amène à raconter l’histoire du « tenant » ou « défiant de la mort », un ancien sorcier qui a conclu un pacte avec les naguals de la lignée de don Juan, échangeant des « dons de pouvoir » contre leur énergie. Plus tard, Castaneda commence à entendre une voix désincarnée dans sa vie éveillée, que don Juan identifie comme « l’émissaire du Rêver » – une force consciente et étrangère provenant du royaume des êtres inorganiques. Après avoir rejeté les flatteries de l’émissaire, Castaneda apprend de don Juan que le Rêver est une méthode pour atteindre la « cohésion » en fixant le point d’assemblage. Un exercice consistant à utiliser son attention de Rêver à l’état de veille le propulse dans un autre monde réel. Don Juan définit alors « l’art de traquer » comme l’art de fixer le point d’assemblage, un complément nécessaire au Rêver, et distingue « l’inconnu humain » des anciens sorciers de « l’inconnu non-humain » que recherchent les sorciers modernes.

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Le Nouveau Domaine d’Exploration

Dans ce chapitre, don Juan demande à Castaneda de commencer la tâche de voir l’énergie dans ses rêves. Après des mois d’échecs, Castaneda y parvient enfin lors d’un rêve initié par un éclaireur, voyant la lueur énergétique des objets et des personnes. Ce voyage onirique, qui se déroule dans un monde réel perçu à travers le voile du rêve, se termine par l’attaque d’une entité énergétique hostile. Don Juan explique que le corps énergétique de Castaneda, désormais achevé, a voyagé seul dans une autre « couche de l’oignon » – un monde réel et prédateur parallèle au nôtre. Il révèle également les différentes couches de couleur de l’énergie (blanchâtre, chartreuse, ambrée) qui correspondent à des positions historiques du point d’assemblage de l’humanité, et décrit trois types d’éclaireurs, dont les plus dangereux se cachent derrière les images oniriques des proches. Le chapitre culmine avec une révélation capitale : l’énergie sombre nécessaire aux manœuvres avancées du point d’assemblage provient du royaume des êtres inorganiques, un héritage contraignant des anciens sorciers.

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Le Tenant

Dans ce chapitre, don Juan met fin à l’instruction formelle de Castaneda sur le Rêver, mais lui décrit la quatrième porte : le voyage du corps énergétique vers des lieux spécifiques, y compris des lieux qui n’existent que dans l’intention d’autrui. Pour une dernière leçon, il emmène un Castaneda terrifié dans une ville du sud du Mexique pour une rencontre arrangée avec le « tenant », ou « défiant de la mort », un sorcier ancien avec qui la lignée de don Juan a un pacte. Il explique que cet être échange des « dons de pouvoir »—des positions spécifiques du point d’assemblage et la connaissance pour les utiliser—contre l’énergie des naguals. À l’église, don Juan révèle que le tenant est une femme. Le choc pousse Castaneda à fuir. Don Juan explique que pour un sorcier aussi ancien, le genre est une question de choix, et qu’il a appris que le tenant était à l’origine un homme qui a tordu son point d’assemblage pour devenir physiquement une femme.

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L’IA et la potentialisation du mouvement du point d’assemblage collectif

Jusqu’à récemment, les êtres humains recevaient, dans leur quotidien, des médias qui renforçaient une vision linéaire du monde. Les images et les vidéos montraient toujours des scènes confirmant une description prévisible de la réalité. Même si les nouvelles étaient légèrement

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