carlos castañeda

Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Qui sont les Chacmools ?

Dans cette section, Castaneda répond à la question sur les « chacmools », un nom donné aux instructrices Kylie Lundahl, Reni Murez et Nyei Murez. Il explique l’origine du terme, que don Juan Matus associait à des guerriers gardiens protégeant des sites sacrés. Castaneda précise que le titre n’est pas exclusif ; quiconque accepte la responsabilité de garder, y compris lui-même et Carol Tiggs, devient un chacmool. Il note que ces trois femmes ont été les premières à présenter les passes magiques au public et qu’elles passent maintenant à une nouvelle phase sur le chemin du guerrier.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Qu’est-ce que la Tensegrité ?

Castaneda explique les origines de la Tensegrité comme une version modernisée des « passes magiques » de la lignée de don Juan Matus. Il relate les enseignements de don Juan sur ces anciens sorciers qui pouvaient percevoir l’énergie directement (le « voir »), ce qui a révélé le « point d’assemblage » humain où la perception est assemblée. En étudiant le mouvement de ce point, ils ont développé l’« art de rêver » et les passes magiques. Castaneda note qu’après avoir appris ces passes en secret, lui et ses condisciples ont décidé de les rendre publiques sous le nom de Tensegrité, un nom signifiant la tension et l’intégrité qui sont les forces motrices des mouvements.

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Un Journal d’Herméneutique Appliquée – Annonces

Cette section détaille le calendrier des événements de Cleargreen pour 1996. Elle annonce un séminaire à San Francisco sur l’« Intentionnalité » avec de nouveaux instructeurs appelés les Pionniers, et un séminaire à Los Angeles sur « Le Corps d’Énergie Féminin » avec des conférences de Castaneda, Carol Tiggs, et d’autres. La sortie de nouvelles vidéos de Tensegrité (« Redistribuer l’Énergie Dispersée » et « Douze Mouvements de Base ») est également annoncée, ainsi que l’édition espagnole du livre de Castaneda, « L’Art de Rêver ». Les détails d’abonnement et de contact pour le journal sont fournis.

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Préface

Carlos Castaneda présente « Le Feu du Dedans » comme un récit de son apprentissage avec don Juan Matus, se concentrant sur les « enseignements du côté gauche » – des leçons données dans des états de conscience accrue qui étaient auparavant difficiles à se remémorer. Il explique que ses écrits précédents décrivaient don Juan comme un sorcier et se concentraient sur les « enseignements du côté droit », mais ce livre révèle que don Juan et ses compagnons sont en réalité des « voyants » et des maîtres d’une connaissance ancienne : la conscience, l’art de traquer et l’intention. Don Juan, en tant que « nagual », est le leader d’un groupe de voyants, et Carlos lui-même est le leader nominal d’un « nouveau groupe du nagual ». Carlos décrit la conscience accrue comme un état de clarté perceptive intense où l’on peut se concentrer avec une force inhabituelle, mais qui n’est pas facilement mémorisable dans la conscience normale. Il détaille la manière rituelle dont il entrait dans cet état et la joie profonde ainsi que la tristesse troublante qu’il lui apportait. Le livre explore spécifiquement la « maîtrise de la conscience », que don Juan présente comme une version moderne de la tradition des anciens voyants toltèques, raffinée par les « nouveaux voyants » qui sont des guerriers de la liberté totale, capables de choisir leur départ du monde en étant consumés par un « feu intérieur ».

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Réassertions Venues du Monde Qui Nous Entoure

Dans ce premier chapitre, Carlos Castaneda relate ses débuts avec Don Juan Matus, un sorcier Yaqui qu’il espère engager comme informateur pour ses recherches sur le peyotl. Cependant, Don Juan se montre insaisissable et mystérieux, refusant toute compensation monétaire et l’invitant à une « marche » dans le désert où il ne parle pas de plantes, mais de la sentience du monde et de la nécessité d’être en accord avec lui. Le regard perçant de Don Juan paralyse Carlos, remettant en question sa capacité habituelle à « s’en sortir ». Don Juan adapte même une parabole pour se moquer subtilement des tentatives de Carlos de « se préparer ». La rencontre se termine avec Don Juan refusant catégoriquement toute photo ou enregistrement, insistant sur « l’esprit » comme l’unique chose indispensable, laissant Carlos perplexe et intrigué par cette nouvelle approche de la connaissance.

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